Toc Toc Toc : joyeuse Halloween,
les enfants! Il est tout près de 23 h. C’est terminé pour Halloween 2012.
Dommage, dans plusieurs régions, la pluie est venue nuire au spectacle. Mais
quel spectacle? Celui-là où de nombreux petits enfants sont si beaux, avec leur
déguisement. Voilà, il est venu le temps d’aller manger vos cueillettes. Pas
trop de sucre, tout de même! Puis les majestueuses couleurs noires, blanches et
orangées céderont la place au rouge et au vert. Ce sera au tour de Noël de
prendre les rênes sur le tapis rouge des festivités annuelles. Ho Ho Ho! Le
plus beau moment de l’année s’en vient. Visuellement et acoustiquement. Les
chansons de Noël : hourra! Les sapins, les cadeaux et la neige. Les rires
et les pleurs aux premières tombées de flocons blancs. Féerie dans les foyers,
sur les balcons. Dans nos cœurs. Chère Halloween, à l’an prochain!
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mercredi 31 octobre 2012
dimanche 28 octobre 2012
Québec ou Trois-Rivières?
Bonsoir Québec! Je viens de m’asseoir.
Grosse journée de travail, encore. Je viens de m’ouvrir une bière. Il y a du
football de la NFL à la télévision. Puis je voulais te parler, Québec! Tu dois
te douter que notre relation ne roule pas sur l’or. Lorsque je marche sur ton
pavé, que je sillonne tes trottoirs cimentés, que ton gazon chatouille ma peau,
je ne sens pas cette sensation d’appartenance. Probablement que ma tête est
ailleurs. Puis avec l’école et mon travail, des temps libres, je n’en ai pas
plus ici qu’à Trois-Rivières. Mon frère pourrait en témoigner. Peut-être que tu
ne le sais pas, toi, Vieille-Capitale, mais je suis un amateur de sports. Je
suis un mordu de hockey et de baseball, entre autres. Je suis un fanatique!
Ceux qui sont extrêmes! Il m’est arrivé de pleurer les échecs de mes équipes,
ou encore les moments de joie les plus intenses. Chacun sa passion, me
diras-tu? Eh bien sache que même tes équipes de sports ne m’ont pas conquis. Je
n’ai ni papillons pour les Remparts, les Capitales ou encore le Rouge et Or. Ce
n’est pas peu dire! Ce qui pourrait me faire pleurer aujourd’hui, c’est les
kilomètres qui me séparent de mes parents et amis. Eux sont restés derrière, à
espérer qu’un jour, nous reviendrons. Puis parfois, j’en viens à réaliser que
mes parents vieillissent. Je suis réaliste. Et puis je me dis : « Ce
n’est pas vrai qu’ils vont partir et que je vais vivre avec le remord de les avoir
vu que trois ou quatre fois dans la dernière années » Je souhaiterais tant que notre relation redevienne physique, et non « téléphonnelle ». La vie est trop
courte. En 2012, c’est encore pire! Mon cours se termine en avril. Sur le plan
scolaire, j’aurai tout fait ce qui est en mon pouvoir. Deux diplômes collégiaux,
un baccalauréat en communication et un certificat en journalisme. Mais Québec,
je ne sais pas si je vais te choisir. En fin de compte, je ne sais plus où j’en
suis. Québec ou Trois-Rivières? Le temps nous le dira…
samedi 27 octobre 2012
Le froid!
Fait-il froid ce soir? Probablement, ouais. Bref, le matin oui, il faut gratter nos vitres de voiture. Pour les français, je dirais qu'il faut gratter nos glaces de voiture. Encore faut-il leur expliquer le mot gratter? Je ne sais pas. Je ne sais pas quoi? Si Joe a un ''je ne sais quoi''. Bref, il se peut qu'en vieillissant, nous devenons sourd de la ''feuille''. Ou encore sourd comme une ''botte''. J'aimerais prendre un café avec l'inventeur de chacune de ces expressions. Quoi que dans son cas, il m'offrirait probablement de partager le joint. Il faut probablement être ''gelé'' pour en venir à de telles conclusions. N'allez pas croire que je viens de voir un autre jeu de mot dans cette histoire. Le joint du monsieur, l'inventeur, et la botte de foin. C'est probablement ce qu'il fûme, du foin. Donc, on deviendrait sourd comme un joint? Encore cela expliquerait-il la drôle d'attitude des vaches. Je ne crois pas non plus. Ce que je crois, c'est que j'ai besoin de sommeil.
jeudi 25 octobre 2012
Hommage à Paul Vallières
Paul Vallières nous manque. Peu
importe le commis d’épicerie qui a côtoyé cette icône, ce personnage, il s’ennuie
de lui. Du moins, il se souvient de lui ou d’une situation qui s’est produite
en sa présence. Aujourd’hui, je suis toujours aux études. Mais j’ai aussi
obtenu le poste de Paul, soit celui d’assistant-gérant dans une épicerie de la
Vieille-Capitale. Puis Paul, c’est mon modèle. Un jeune hockeyeur se trouve une
idole à imiter. Sidney Crosby ou même Brian Gionta. Le jeune chanteur fait
pareil. Moi, dans mon emploi, c’est lui que j’essaye d’imiter, jour après jour,
quart de travail après quart de travail. Non, je ne mâche pas ma gomme à la
vitesse de Paul. Je ne mâche pas de gomme. D’ailleurs, cessez ces concours de
mangeurs de hot dog ou de record « d’engouffreur » de sushi. Lancez plutôt
le concours de mâcheur de gomme. Vous allez voir que « PoPaul »
vaincra tout le monde, même sur la scène internationale. Bref, quand je me
présente au travail le matin, j’essaie d’avoir sa bonne humeur. Il chialait
parfois sauf qu’il souriait. Toujours. Puis il s’occupait du remplacement d’étiquettes
et de commander la bière, comme moi. Nous avons des différences : lui
c’est le Pepsi, moi le café. Il faut quand même avoir sa propre authenticité.
Mais mon travail, je l’exécute comme lui! Comme lui me l’a montré…
Si je gagnais 50 millions, je
m’achèterais un commerce. Peut-être bien une épicerie. Lui, il deviendrait
gérant d'épicerie et sa femme gérante de boulangerie. Ah Manon! Puis dans la salle de
pause, nous aurions la chaîne du Réseau Info Sport (RIS) pour regarder Sport 30,
peu importe l’heure. Puis on installerait une table de billard et un jeu de
dard. Je vous jure qu’on dinerait au magasin! Mais ça n’arrivera pas puisque je
n’achète pas de billet de loterie. Bref, ne change pas Paul. Même à des
centaines de kilomètres, on ne t’oublie pas. Et sache que tu nous manques…
mardi 2 octobre 2012
Été de rêve
Il est minuit dépassé et mon
équipe, les Athletics d’Oakland, sont en avance 4 à 3 avec une manche à jouer.
Cette fin de match sera celle de Grant Balfour, notre releveur numéro un qui n’a
aucun sabotage depuis le match des étoiles. Que d’émotions pendant six mois, en
écoutant une centaine de rencontres. Peu importe l’heure! Oakland joue plus
souvent qu’autrement à 22 h, hélas. Ce serait donc un retour en séries éliminatoires
pour la première fois depuis 2006. Une formation très ordinaire, qui soir après
soir, joue en équipe, et dans laquelle un héros différent se lève.
Il ne manque que trois retraits pour s’assurer d’une place en séries. Billy
Beane, pour ceux qui ont vu le film Moneyball, did it again in 2012 !!!!
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