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dimanche 30 janvier 2011

Bien heureux avec la « familia »

Alors que cette soirée s’annonçait solitaire, entre moi et petite Alice, le lapin, le téléphone sonna vers 15 h. « Moman Gisèle » qui me dit de descendre à Grand-Mère pour aller souper en famille. La grande famille. Démarre l’Écho et on part! Je vous l’ai déjà dit et je le répète : il faut profiter de ses moments rares, et encore plus souvent sachant que je déménage à Québec en juillet. Profitons-en pendant que la route à parcourir n’est qu’une courte demi-heure. Je savais que j’allais rire. Un match d’étoiles de la LNH à jeu ouvert et assis dans le salon avec les « mononcles » Maurice et Jacques, « popa » Ti-Gilles et son torticolis et Ti-Luc qui dort après une longue route Québec-Grand-Mère. Saint-Père Ti-Gilles s’est fait mal au coup en travaillant ce matin. Il travaillait sur ses mots croisés. Il a dû faire son mauvais mouvement en essayant d’appeler son frère Maurice pour lui demander la réponse en vertical 6, deuxième mot. L’histoire ne le dit pas. Bref, je ne me suis pas trompé puisque nous avons eu du plaisir et plusieurs fous rires. Après le bon souper de Gisèle et sa spécialité, la lasagne, nous sommes retournés en vitesse regagner nos sièges dans lesquels nos traces fessières nous attendaient pour un autre deux ou trois heures d’intensité. En effet, nous avons regardé le deuxième match de la série Montréal-Québec. Et puis le match terminé, le temps est venu de redémarrer l’Écho un bon cinq minutes à l’avance pour reprendre la route vers notre domicile, ou la routine nous attend pour une autre longue semaine. Toute bonne chose à une fin, alors tous bons moments se méritent d’être appréciés, mais se doivent aussi de se terminer. L’important, c’est que le chemin du retour se fasse avec le sourire aux lèvres. Merci encore pour l’invitation.

samedi 29 janvier 2011

De toute beauté


Les vedettes de la Ligue nationale de hockey (NHL) qui se donnent en spectacle, sourire aux lèvres et habiletés aux bâtons en ont mis plein la vue ce soir. Il est bon de voir les joueurs s’amuser et rendre à leur public, soit tous les partisans, un par un, de ville en ville, de région en région, un plaisir aux gens qui regarde ce spectacle en extase devant tant de finesse. Certains diront que le concours d’habileté est meilleur que le match des étoiles lui-même et ils n’ont pas torts. Dans ce week-end réservé aux fans de hockey, veuillez noter que personne n’a tort. Vous avez le droit de dire que le match est plus intéressant que le concours d’habileté ou vice-versa. Les joueurs sont là pour s’amuser et le font avant tout pour le public. Même les gardiens s’amusent à accorder des buts! Nous avons eu droit à une vraie belle soirée de hockey. Les sourires de Tim Thomas, Carey Price en fusillade et P.K. Subban après son but étaient succulents. Et que dire du géant Zdeno Chara qui conserve son titre avec un nouveau record de lancer à 105.9 mph en grande finale face à Shea Weber, 8 ans plus jeune. Les deux parties de demain sont un rendez-vous à ne pas manquer (le match des jeunes et le vrai match des étoiles 2011). Ça devrait être un excellent « show » pour les amateurs de hockey.

jeudi 27 janvier 2011

Ne le jugeons pas


Depuis trois jours, il y a un voleur qui vient à l’épicerie. Il réussit son coup à chaque fois. Il vole la même chose : la même boite, qu’il vide et qu’il cache dans une rangée quelconque. Et il range probablement son contenu dans son manteau ou dans un sac à dos. Effectivement, c’est facile de le juger. J’ai tout entendu aujourd’hui comme appellation. Cependant, il y aura toujours des voleurs. Il existe au moins deux types de voleurs. Certains volent pour malfaire. D’autres, malheureusement, le font pour bien faire. Ils le font parce qu’ils ne mangeront pas ou que c’est probablement une des cinq seules fois qu’ils auront l’occasion de la faire dans la semaine. Et parfois, ils vont le faire pour nourrir leur famille et un ou deux enfants. Nous ne pouvons pas avoir pitié d’eux parce que ça demeure du vol. Avoir pitié des voleurs qui volent pour leur survie serait mal vu en 2011. Ce serait comme appuyer le crime. Mais si nous nous placions dans leur situation? Il existe certains individus qui atteignent le fond du baril et qui n’ont plus la conscience de ce qui est bon ou mauvais. Alors s’il faut se nourrir pour survivre, il faudra en trouver le moyen. À vous de juger ces personnes… mais la question demande réflexion.

mardi 25 janvier 2011

De faux héros et de vrais héros

Qui sont les vrais héros sur cette planète? Viennent-ils de la médecine? Sidney Crosby est le dernier héros du tournoi olympique avec son but en période de prolongation? Faux! Il a joué, en l’espace d’un instant, les héros. Mais « Sid the Kid » n’en est pas un, tout comme Batman ou Spiderman ne sont pas de vrais héros. Crosby a fait la une de tous les médias et de tous les journaux. Les vrais héros, eux, ne font jamais la une. Ceux-là travaillent dans l’anonymat et s’ils font la une, ils disparaissent de votre mémoire la journée suivante et replongeront dans le néant de l’anonymat. Mais que font-ils pour être de vrais héros? Je vais vous le dire. Ils sont à la recherche de remèdes pour prévenir la guérison d’innombrables maladies. Ils sont dans les hôpitaux à sauver des vies. Parfois, ils reçoivent un patient gravement accidenté et ce n’est pas suffisant? Le défi n’est pas assez important alors ils ont droit à un degré de difficulté supplémentaire. Un tout petit défi, soit celui de devoir sauver ce patient entre les cinq ou quinze prochaines minutes. Ils sont là les vrais héros de ce monde. Le vrai héros fait atterrir un avion en détresse; le vrai héros sauve sa sœur de trois ans qui est tombée dans la piscine; le vrai héros sauve deux, trois ou neuf vies après une explosion. Les vrais héros relèvent un pays en détresse en unissant leurs efforts, pays touché par la catastrophe. Le vrai héros ne marque pas des buts ou ne remporte pas un championnat de Formule 1. Le vrai héros ne fait pas non plus la guerre. Il existe trop de vrais héros pour les reconnaître, malheureusement…

lundi 24 janvier 2011

Ces journées sont rares mais...

Il y a de ces journées de repos où le temps s’arrête et il cède toute la place au plaisir et à la détente. Par contre, il faut spécifier quelle genre de détente. On parle de la détente mentale laquelle vous donnant congé de vaquer à vos occupations habituelles. Ces journées où l’on profite grandement de chaque heure. Vers 13 h, je me suis rendu au Cinéma Biermans, à Shawinigan, où ma mère devait aller pour y voir un film. Je me suis dis que j’allais lui faire une charmante surprise en y allant avec elle. En effet, elle a quelque peu sursauté de en me voyant la suivre en débarquant de son automobile. Et c’était tout un film de Cowboys, comme à la belle époque. Ce dernier prenait fin vers 15 h et devait ensuite laisser place au programme double de la NFL. Un programme double père-fils comme il est rare d’en avoir l’occasion. D’abord le match entre les Bears de Chicago et les Packers de Green Bay, où devrais-je dire d’Aaron Rodgers. Puis ensuite, le match entre les surprenants Jets de New York et les Steelers de Pittsburgh, qui nous a laissé croire que les Jets pouvaient l’emporter après avoir tiré de l’arrière 24-0 et remonté la pente 24-19. Cette partie de football divisée en deux chapitres partageait son temps de visionnement avec le premier match de la série Montréal-Québec. Le calibre de jeu beaucoup plus élevé que l’an dernier a donné droit à tout un spectacle. Bref, une journée comme dans le temps! Telle la belle époque où vous habitiez chez vos parents. Et si vous si êtes encore, alors profitez du temps en famille à chaque fois que vous en avez la chance. Parce qu’en vieillissant, ces moments deviennent, malheureusement, trop rares. Passez une belle journée.

vendredi 21 janvier 2011

Tout est éphémère. La vie...

Tout dans notre existence semble passager. À commencer par nous. Nous naissons une fois et nous vivons pleinement. Puis nous retournerons dans le néant, terminé, final, noirceur éternelle. Si vous êtes comme moi, vous ne voulez jamais y penser et lorsque ça vous parcourt l’esprit, vous chassez vite l’idée de votre esprit pour la remplacer par autre chose. Et tous souhaitons vivre longtemps. Tant qu’à se voir offrir qu’une seule chance, pourquoi ne pas l’étirer jusqu’à 80-90 ans? Tout est passager. La mode change sans cesse, parfois même avant qu’on en profite pleinement. La mode vestimentaire ou la mode des cheveux. Il y aussi des changements dans les automobiles. Par exemple, ma Dodge Shadow a disparu et une autre époque est enfouie, ne laissant aux humains que des souvenirs. Les règlements changent. C’est terminé l’époque où il était permis de conduire avec une bière dans le porte-verre de notre auto ou tout simplement de la tenir entre nos jambes. Et l’époque où tous les fumeurs pouvaient nous empester un peu partout. Ne vous en faites pas, je n’ai rien contre les fumeurs. Simplement contre l’inventeur! Et puis il y a les époques d’amitié : on débute notre enfance avec les amis de quartiers, ensuite les amis scolaires et vient les amis que nous garderons tout près pour le reste de nos jours. Chenille est devenue papillon. La stabilité existe-t-elle vraiment? Si oui, vient-elle à un certain âge à laquelle tout le casse-tête s’assemble? Je ne crois pas. Il y aura toujours des changements auxquels nous devrons nous ajuster. Parfois, ça demande des efforts et de la force intérieure. D’autres fois, nous suivons la parade, tout simplement. Et ce, jusqu'à tant que tout s’éteigne. Rendu là, personne ne sait si nous continuerons de réfléchir une fois la grande traversée complétée. La mort est donc un autre changement auquel il faudra s’adapter, et par conséquent, toute une surprise.

mercredi 19 janvier 2011

Comment ça…

En Tunisie, c’est la cohue totale dans les rues et il s’agit encore de décisions politiques. Je me demande comment nous avons fait pour en venir, en tant que peuple de ce Monde dégradant, à nous révolter un peu partout. Nous sommes chanceux d’être en Amérique. J’ai un ami amateur de bières et sa sorte préférée est la Pabst Blue Ribbon. À défaut de ne pas boire de la bière canadienne, il faut lui dire : « chacun ses goûts ». Or, j’imagine le jour où il deviendra papa et son fils de lui dire comme premier mot : « Pa-pabst ». Par jour de tempête ou de froid sibérien, je me demande encore ce que font tous ces gens à courir les épiceries. Faites-vous des réserves, non? L’expression suivante est populaire : « tu es chanceux comme de la marde de Pape. » Je m’y arrête quelques instants, et je me demande : « c’est quoi la chance que je déniche des excréments du bon père de tous les pères et en quoi je pourrais me considérer comme étant chanceux d’en trouver ». À moins que ce soit prouvé, théoriquement, que des individus sont allés directement à la source du problème. Ils ont passé quelques heures dans les puisards pour récupérer le rejet d’aliment de monsieur Pape et ont déniché quelques souvenirs avec une passoire. Bref, ils auraient par la suite vécu de très beaux moments et cette expression serait dorénavant crédible. MAIS JE NE CROIS PAS! Assez de questionnements pour aujourd’hui.

mardi 18 janvier 2011

Belle journée de congé


Nous avons pu assister à un incroyable programme double hier entre ma tournée de C.V. D’abord, Les Bruins qui lessive la Caroline 7 à 0 et le Canadien qui a offert tout un match spectacle en soirée. En après-midi, les Bruins ont frappé tôt avec deux buts rapides, chassant le cerbère des Cyclones de Raleigh, Cam Ward. Ils ont retraité au vestiaire avec une confortable avance de 3 à 0 et Captain-Z, Zdeno Chara, avait deux buts à sa fiche. Boston a ajouté deux buts rapides en deuxième période pour se donner une avance de 5 à 0. Tard en troisième, en supériorité numérique, Zdeno Chara a complété son premier tour du chapeau en carrière aux dépens de Justin Peters. Il a regardé la foule au centre de la glace en leur signalant de lancer leurs casquettes. Incroyable moment de réjouissance et le commentateur des Bruins, l’excellent Jim Edwards, qui dit : « Here come les chapeaux ». Ce soir, les Bruins seront en Caroline et les Canes seront probablement affamés.
En soirée, le Canadien recevait les Flames de Calgary et Montréal a inscrit deux buts en première période. Michael Cammalleri a enfin trouvé le fond du filet en plus de récolter une passe. Le CH a quadruplé son avance en deuxième période, chassant du même coup le gardien des Flames Miikka Kiprusoff. Profitant de la relaxation montréalaise, les Flames ont marqué deux buts à la fin du deuxième tiers pour revenir dans le match. Ceux qui ont manqué le début de troisième période s’en voudront. Calgary était partout sur la patinoire et a marqué deux buts rapides, dont le but égalisateur d’Alex Tanguay. C’était 4 à 4. Carey Price s’est emmené en relève à Alex Auld. Vous vouliez une fin cinématographique alors que demander de plus : P.K. Subban entre à l’aile, reçoit la passe de Scott Gomez et son tir du cercle de mise en jeu termine sa trajectoire sur la bouteille d’eau du gardien Henrik Karlsson. Le Canadien s’en sort avec la victoire et se situe toujours à deux points de Boston. Les Bruins ont un match en main. Montréal jouera à Buffalo ce soir.

dimanche 16 janvier 2011

Les surprises continuent

Tom Brady et les Patriots de la Nouvelle-Angleterre ont croulé sous la pression à domicile et sont éliminés dès leur premier match pour une deuxième saison consécutive. Avant les séries, l’entraineur-chef des Jets de New York avait déclaré que son club irait au Super Bowl, jetant beaucoup de pression sur le jeune quart-arrière Mark Sanchez. Aidés par son attaque au sol (Greene 76 verges et Tomlinson 43 verges), les Jets ont surpris les Pats 28-21.

Après six longues années d’IGA, c’est demain que se mettra en branle la tournée de C.V. de Joe Cossette. Je viens d’obtenir mon baccalauréat en langue et communication et je compte bien en profiter. Je vais d’abord postuler dans la région de la Mauricie et j’ai hâte de me présenter chez les employeurs. Maintenant âgé de 29 ans, je me présenterai avec beaucoup plus de confiance et sans les petits papillons de nervosité qui nous importunent lorsque nous postulons sur des emplois étudiants. Vous comprendrez en vieillissant.
Parmi les autres surprises, il faut noter la victoire de 4 à 0 du Wild du Minnesota sur les Canucks de Vancouver, les 12:32 de Maxim Lapierre qui ne joue donc pas plus là-bas, ma prédiction réussie du match de fou entre les Packers et les Falcons, la création de la pizza cheeseburger et la vente de bière à Seattle (NFL) qui vous offre un verre autre moyennant 1,25 $ de plus, mais qui contient la quantité identique de boissons.

samedi 15 janvier 2011

Le week-end

C’est le week-end parfait du sportif, du moins à ceux qui ne travaillent pas. Dès 13 h, les Bruins reçoivent les Penguins de Pittsburgh à « Beantown » et les manchots se souviennent probablement de la fin du match lundi. Boston avait inscrit 4 buts en fin de rencontre pour l’emporter 4 à 2. Au moment d’écrire ces lignes, les Penguins sont en avance 1 à 0. Ce soir s’amorcera le deuxième tour des séries éliminatoires dans la Ligue nationale de football (NFL) et Baltimore devrait s’incliner à Pittsburgh. Par la suite, il y aura tout un match à Atlanta alors que les Falcons reçoivent la visite des Packers de Green Bay. C’est le genre de match qui peut se terminer 45 à 42.
Demain, la NFL nous offre le match entre les surprenants Seahawks de Seattle et les Bears de Chicago. Deux équipes de négligés et le vainqueur deviendra la surprise en finale d’association. Et en soirée, sortez la bière et les ailes de poulet pour regarder un match de style Super Bowl. Les Jets de Mark Sanchez affrontent la bande de Tom Brady en Nouvelle-Angleterre. Les Pats auront faim et ce sera tout un match. Voilà. Je prends la route pour me diriger au Centre Bell, bonne soirée.

vendredi 14 janvier 2011

Juste pour rire


Après que le Canadien de Montréal aille battu les Penguins la semaine dernière, Carey Price y était allé d’un petit geste de joie, quelque peu arrogant, mais dans els règles de l’art. Les Penguins avaient la chance de se venger une semaine plus tard et ont inscrit cinq buts face à l’ami Carey. Lorsque le match s’est terminé, Kris Letang (auteur de trois points) et son gardien Marc-André Fleury ont répété le même geste en guise de vengeance, au Centre Bell. Les deux Québécois ont alors déclaré l’avoir fait pour le « fun » et n’allez pas brailler ou pleurer que c’était déplacé. Le scénario était parfait, surtout que les deux matchs ont été séparés de quelques jours. J’ai bien hâte de voir la sortie de Carey ce samedi, face aux Rangers. J’y serai pour le constater.
Mon oncle a atterri en Tunésie pour un séjour de trois mois après dix heures d’avion et deux heures d’autobus. C’est un voyage à Baltimore ça! Or, il n’a pas payé cher pour son voyage et je doute maintenant de la raison. Présentement, pour des raisons de politique, « ça brasse » en Tunisie et le soir, son hôtel lui inflige un couvre-feu en lui disant calmement : « nous voulons être certain que vous ne vous ferez pas tuer, par exemple, simplement en visitant le dépanneur du coin. » Espérons que tout se replace là-bas. Disons que la vie d’aujourd’hui est parsemée de conflits politiques, et ce, un peu partout…

jeudi 13 janvier 2011

Les questions à se poser…


Comment ça se fait que des clients d’épicerie réguliers, que tu rencontres depuis cinq ans, te demandent encore où sont les trucs? Vous êtes tellement souvent ici, que vous devriez connaître la place mieux que votre propre demeure. Je commence même à avoir un doute sur le fait que ce serait vous qui avez décidé le plan des rangées. Vous êtes-vous déjà demandé comment se fait-il qu’une souris sans fil requière des batteries, mais qu’une batterie de musique n’ait pas de fil? Est où la justice dans toute cette histoire? À ceux qui mettre du ketchup sur le pâté chinois, est-ce pour enlever complètement le bon goût de celui-ci ou parce que vous trouvez que votre assiette manque de couleur? Nous avons du pain du sur la planche. Cette expression semble bidon, mais signifie qu’une lourde tâche nous attend. Voyons! Amène-moi-le ton pain avec un peu de beurre et je vais te régler ça bien assez vite. En terminant, je me suis mis dans la peau de l’inventeur du pogo. Sa blonde lui a offert des saucisses dans son assiette et ce dernier a trouvé le gout assez ennuyant? Le lendemain, il s’est créé une pâte à crêpe pour l’enrouler et a décidé de plonger ça dans l’huile? Pourquoi pas puisque les saucisses sont déjà trop santé à notre gout. Ensuite, il s’est brulé les doigts en mangeant ses fameux pogos et a décidé de « gosser » du bois pour y mettre un bâton? C’était probablement un « farmer » avec une compagne louche des et des activités restreintes. Bonne journée.

dimanche 9 janvier 2011

Souper d’adieux avec Oli et Vince

Réunis à la Cage aux Sports de Trois-Rivières, nous avons suivi le rituel des commis avec un souper d’adieu pour Vincent et Olivier. C’était parfait, dans le calme et les rires. Une Cage aux sports à nous, vide, mis à part quelques figurants. Comme si dans le scénario, la table d’honneur était mise à ces deux ex-collègues, à ces deux boys. Il y avait des ailes, de la bière et des burgers : un beau moment de célébration parce qu’au fond de nous tous, nous sommes fiers d’eux et de leur début de carrière qui va s’en suivre. Mais on ne leur dit pas avec des mots, parce que des gars c’est « tough » alors on le signifie par notre simple présence. En même temps, on leur dit merci pour les rires et les moments que l’on conserve, précieux, ancrés dans nos mémoires. Et nous devrons poursuivre nos routes. Demain et mercredi, nous allons jouer au hockey à la patinoire du quartier. C’est le début de la nouvelle ère : se revoir pour conserver nos liens. Dorénavant, ces deux bonshommes vont connaître le Joe hors travail. Leur relation avec le Joe « bouffon » du travail est terminée. Je le répète : la vie suit son cours. Et je sais très bien que la prochaine semaine sera dure. Le plus difficile sera de poinçonner mercredi en me disant que ces deux collègues font partie du passé. Et dans les premières heures viendront les souvenirs et après un certain temps, ce sera l’acceptation. Et viendra le temps de tourner la page à mon tour. Merci les boys.

Maintenant, je perds un frère.

Nous aurons connu 134 commis-collègues avant de se séparer après six longues années. Dorénavant, Olivier Belzile est le numéro 135. J’ai connu Olivier en 2004 alors que j’étais employé du service et le directeur du magasin m’avait demandé de laver dans le magasin pendant une semaine entière. J’ai dû escalader les réfrigérateurs de jus et Olivier se moquait de cette situation amicalement alors qu’il travaillait dans les produits laitiers. Environ une ou deux semaines plus tard, j’ai dû remplacer un commis d’épicerie exilé sans avertissements et j’ai demandé un transfert du côté de l’épicerie. J’ai connu les arrivées d’Oli en rouli-roulant, ensuite en vélo été comme hiver et tout récemment, en automobile. Il avait 17 ou 18 ans. Petit homme est devenu grand homme. Et puis nos fameuses pauses dans le portique avec les « boys » à 6 h du matin. Nous en avons chanté des chansons et sifflé des airs, qui en faisaient damner quelques-uns. Terminer les « toutoutou-ouuu », les « thank yoooouu » et la chanson de Marie-Mai « encore une nuit… ». Nous avons probablement chassé Jackie indirectement. Nous avons vécu le party de Noël à six occasions, avec cinq différents groupes de personnes (l’année de Sylvain/James, Devault/Leblanc, Tremblay, Alec et la nouvelle gang de mafieux Vivy, Tony, etc.). Maintenant, qui va acheter du Dr Pepper ou des Hop-&-go? C’est terminé mes paniers de trois points en pause dans une des trois poubelles et nos « high-five » de célébration. Terminer l’époque où je te « whizzais » le matin sur MSN avant qu’on parte travailler où tu devais fermer le son des haut-parleurs dans ta chambre. Terminer l’époque de « je vais être là c’est sûr avec Patry ». Je ne compte plus les milliers de rires que nous avons partagés. Terminer l’époque des mille et un coups dans les allées, l’époque où sur chaque feuille à signer nous marquions Jonathan Belzile, parce qu’Olivier était plus qu’un collègue, c’était devenu un frère. Aujourd’hui, nos chemins se séparent, mais ça devait arriver. Nous nous sommes séparés le jour où nous avons décidé de regagner les bancs d’école et ces trois dernières années furent un bonus. À toi aussi je souhaite une excellente carrière qui devrait s’amorcer cet été.

samedi 8 janvier 2011

Claude Juliiiiiiiiiiiien 15e erreur... ?

Quelle saison difficile en gérance de Claude Julien et encore ce soir, avec l'absence de Nathan Horton, on change tous les trios. Et que s'est-il passé mon Claude avec 1:10 à jouer...? Shawn Thornton et Greg Campbell sur la glace et un dégagement refusé : résultat, il demeure sur la glace et le but. Bravo Claude! Encore chanceux de mener la division avec ta pire saison à vie à la barre d'une équipe... Il te reste une demie saison pour faire un petit wake-up! En passant, tu as trois trios à rouler avant d'utiliser Tornthon et Campbell avec moins de dix minutes à jouer. Krejci, Savard et Bergeron sont experts en défensive. Bravo au CH et à Claude que disons-nous? Sort tes livres... mais je crains que tu ne lises mon blogue...

Perdre un ami.


Ce week-end n’est pas très rose en ce qui concerne mes relations personnelles. Disons que ce n’est pas souhaitable, mais que la vie se déroule sans que nous ayons le contrôle de chacun des évènements. Ce serait trop facile. Pour être plus clair, je viens de faire mon dernier quart de travail avec mon collègue Vincent Boisvert. Et demain, ce sera mon dernier avec Olivier Belzile. Il faut s’entendre sur quelques points : ce sont plus que des collègues. À travers mes six longues années au IGA, 135 commis d’épicerie (ce département seulement) ont travaillé avec moi. Un faible pourcentage d’entre eux est difficile à voir partir, puisque la majorité des commis ne font qu’un court séjour. J’ai travaillé tout près de 4 ans avec Vincent ce qui fait environ 1500 jours. Si nous calculons qu’on se voyait tout près d’un jour sur deux, ça fait plusieurs journées! C’est pourquoi je mentionnais que Vince est plus qu’un collègue. Bien beaux parleurs ceux qui disent que nous allons nous revoir en dehors des heures de travail, mais n’en reste pas moins que les occasions seront beaucoup plus rares. J’ai connu Vincent alors qu’il avait environ 17-18 ans et je le surnommais « le kid ». Aujourd’hui, « le kid » est devenu un homme et a travaillé fort pour aller chercher son diplôme. Dorénavant, il travaillera dans son domaine. Et bientôt ce sera mon tour. Parce que la vie de chacun d’entre nous est constituée de petites époques et de petits chapitres dans lesquels nous ne sommes que de passage. Comme il est tabou entre hommes de se dire qu’on s’aime bien, alors je te dirai ceci : « Tu vas me manquer, mon Vince! » Bonne chance dans ta nouvelle carrière.

mercredi 5 janvier 2011

L’incroyable Louis-José Houde

Hier soir, nous avons finalement écouté le cadeau de fête de ma conjointe (du 5 novembre), soit le DVD de Louis-José Houde et son spectacle Suivre la parade. Encore une fois, il nous prouve pourquoi il est considéré comme un sinon le meilleur humoriste au Québec. Je conseille aux demoiselles maquillées de s’abstenir puisqu’elles riront à en pleurer par plus d’une fois. Houde continue de nous faire rire avec des réalités de la vie qui nous touchent tous et que nous rencontrons au quotidien. Il nous raconte d’autres moments de sa vie, dont un voyage en Guadeloupe, une autre de ses emplois de jeunesse et un voyage familial en Gaspésie. Il ira même jusqu’à confier un moment marquant de sa vie, soit l’avortement d’une de ses ex-copines. C’est touchant, mais évidemment teinté d’humour. Bref, vous devez vous procurer ou louer le DVD de Louis-José Houde. Faites-en un devoir pour une soirée de rires assurés. Bonne journée. Au menu ce soir, probablement un blog sur l’atmosphère d’une soirée au… surprise!

mardi 4 janvier 2011

Le journaliste a couru au feu

En revenant du dépanneur, mains dans les poches et fredonnant une chanson de noël pour une des dernières fois, j’ai vu passé trois camions de pompier coup sur coup. Ils étaient suivis de deux autos de police. J’ai donc couru voir ce qui se passait devant la patinoire Sainte-Marguerite, puisque ma grande curiosité était interpellée. De plus, je n’avais que quelques pas à faire pour m’y rendre. Heureusement pour les habitants de la maison ciblée, ce n’était qu’un petit feu de cuisinette rapidement maitrisé à l’extincteur. Les locataires en robes de chambre ont pu regagner leur domicile, fort heureusement. Personne ne souhaite perdre ses biens personnels, surtout pas une semaine après un joyeux temps des fêtes. J’ai pu moi aussi revenir à la maison et mon périple fut court, mais suffisamment long pour me geler la figure.

lundi 3 janvier 2011

Une mer rouge / Avance et recule!

L’équipe Canada junior a été bâtie pour l’atteinte d’un seul but : remporter la médaille d’or. Ce soir, ils ont été incroyables. Devant une mer Rouge de spectateurs à Buffalo, l’équipe rouge et blanc a frappé tôt. Ils ont inscrit deux buts rapides en première période et les mises en échec pleuvaient. D’abord, bien que le tournoi a lieu aux États-Unis, 67 % des billets ont été achetés par des Canadiens avant le tournoi. L’équipe américaine n’a pas l’avantage du domicile. Le gardien du Canada, Mark Visentin (premier choix de Phoenix 2010) a du se signaler quelques fois en première période et au deuxième vingt. Le Canada a triplé son avance en début de deuxième période alors qu’il évoluait à 5 contre 3. C’est Ryan Johansen (quatrième choix total de la LNH 2010), sur un retour de lancer, qui a fait très mal à l’équipe américaine. On se souvient que les Américains ont vaincu le Canada en finale du tournoi de 2010 et que huit médaillés d’or étaient de retour avec l’équipe américaine. Le Canada a gagné sa revanche haut la main.
Pendant que le Canada avance en finale du Championnat junior, le Canadien de Montréal a reculé ce soir. Les Bruins de Boston ont inscrit deux buts en deuxième période et repris le contrôle de la partie. Les deux buts sont venus sur des lancers de loin, soit celui de Nathan Horton et celui de Marc Savard. Claude Julien a été brillant ce soir en donnant un deuxième départ consécutif à Tuukka Rask, qui avait été chassé à Buffalo samedi. Le ramener dans la mêlée le match suivant sert aussitôt à reconstruire sa confiance et il a tenu le fort avec une vingtaine d’arrêts en troisième période pour un total de 36. En plus de son coussin de trois points sur Montréal, Boston possède encore deux matchs en main. Pour se maintenir dans la course, le Canadiens devra encore battre les Bruins samedi soir prochain, au Centre Bell. Prévoir beaucoup d’électricité dans l’air.

dimanche 2 janvier 2011

Bonne année + Price ne sera pas au match d’étoiles

Nous y voilà! La plupart d’entre vous ont célébré le jour de l’an vendredi soir dernier et nous revoilà de retour sur le chemin de la vie. Les années filent à toute vitesse et nous évoluons dans l’ère des sciences et technologies. Nous sommes de plus en plus occupés à toute heure du jour, et parfois, nous n’avons pas le temps de tout faire. Les temps libres sont plus rares alors il faut en profiter pleinement. Bref, je vous souhaite une agréable année 2011, de la santé et de la réussite dans vos projets.
Dernièrement, le Canadien glisse et ils ont encore perdu aujourd’hui. L’ami Carey a chuté de quelques rangs au niveau de la moyenne de buts alloués et de la moyenne d’efficacité. Price a aussi été devancé au scrutin de votes du match d’étoile par le houleux Marc-André Fleury. Les deux autres gardiens qui devraient être invités sont Tim Thomas (au premier de la NHL présentement) et Ondrej Pavelec (encore incroyable aujourd’hui à Montréal). Le cerbère des Thrashers est au troisième rang de la NHL pour la moyenne de buts alloués et au deuxième rang pour la moyenne d’efficacité. Les Bruins de Boston ont maintenant un point de plus que Montréal avec trois matchs en main.