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lundi 19 novembre 2012

Les signes de la vie.


 

Je suis du genre à croire aux signes de la vie? Vous pas? Il faut les saisir lorsqu’ils surviennent. D’abord, il a y eu celui où Sébastien Patry, ex-gérant du IGA Paquette, a engagé une demoiselle du nom d’Annie Poulin. Elle n’a travaillé qu’une semaine ou deux seulement. Mais ce fut suffisant pour me faire prendre conscience que je pouvais faire un baccalauréat en communication à Trois-Rivières. Chose que j’ai faite! Puis dernièrement, j’ai référé un de mes amis de Trois-Rivières au magasin où je travaille. Ils l’ont engagé, mais il n’a pas beaucoup travaillé. Nous nous sommes croisés cinq fois, tout au plus. Puis il m’a dit quelques phrases clés. Pas moins d’une semaine ou deux plus tard, il a été embauché pour une compagnie pharmaceutique, et moi, l’imitant, au service des caisses populaires. Aurais-je postulé si Evans n’était pas revenu dans le décor, l’histoire de quelques semaines? Probablement pas. Voilà l’occasion de troquer mes pantalons de travailleur et mes souliers à cap d’acier pour l’habillement veston-chemise-cravate. Peut-être qu’un jour, c’est à lui que j’irai dire MERCI devant quelques bières au Gambrinus de Trois-Rivières. Nos chemins se séparent à nouveau, cher ami, mais saches que ce fut apprécié. Puis tu me disais que « tu m’en devais une » parce que je t’avais trouvé un emploi, en besoin de cause, dans la Vieille-Capitale. Aujourd’hui, tu peux te féliciter : mission accomplie.